HONDURAS – Construire un préau au village Madre Maria José

HONDURAS – Construire un préau au village Madre Maria José

Après le cyclone Mitch en 1998, les sœurs de la Providence ont œuvré avec courage et détermination à la construction d’un village pour reloger des familles qui avaient tout perdu suite à des glissements de terrain. Ainsi est né le village Madre Maria José. Parvenir à reloger tout le monde fut un long labeur…

Dans ce village, elles ont aussi construit un jardin d’enfants pour permettre aux tout-petits d’être scolarisés sur place et contribuer ainsi à leur développement moteur, culturel et social.

« Cette colonie », comme on dit là-bas, est éloignée de tout. Aussi, peu à peu une école et un jardin d’enfants « Kinder » ont vu le jour. C’est pour ce dernier que nous avons besoin de votre aide. Les sœurs désirent construire un grand préau qui permettra aux enfants de ne souffrir ni de la pluie violente à certains moments ni du soleil dardant à d’autres moments.

Par diverses activités, les sœurs ont déjà recueilli une grande partie de la somme nécessaire.

Il manque 4000 € pour rendre possible la construction de ce préau.

GUATEMALA – Une nouvelle maîtresse pour une école construite sur une décharge publique

GUATEMALA – Une nouvelle maîtresse pour une école construite sur une décharge publique

 

L’école de soutien scolaire « Casa Nino Esperanza » est bien particulière ! Elle a été construite sur la grande décharge de la capitale Guatemala City. Au départ, les enfants se réunissaient sur une bâche, puis dans une cour, et enfin dans un garage.

Tous les jours les camions poubelles déchargent les ordures de la grande ville et tous les jours des centaines de personnes trient et récupèrent ce qui peut se recycler, se vendre. C’est là que vivent avec leurs parents, les enfants de cette petite école que nous chérissons. Depuis de longues années, les sœurs animent et gèrent ce coin de paradis dans un univers boueux et pestilentiel.

Aujourd’hui, l’école est en dur. Elle a été construite par une association de personnes de Guatemala City. Cette association assure l’entretien du bâtiment. Quant aux sœurs, elles doivent gérer le quotidien, payer les enseignants et trouver les ressources pour la mission éducative.

Cette école est ouverte toute la journée même s’il s’agit de soutien scolaire. Pourquoi ? Au Guatemala, comme dans beaucoup de pays, la scolarité est dispensée par demi-journées soit le matin, soit l’après-midi. Les enfants viennent donc à l’école « Nino Esperanza » l’autre demi-journée.

Aujourd’hui, plus de 140 enfants fréquentent quotidiennement l’école.

L’esprit de l’origine s’est maintenu au fil des années. L’école vit grâce à beaucoup de solidarité :

  • Une association du pays a construit l’école et assure l’entretien
  • Diverses associations de France et des États-Unis participent au financement des goûters journaliers et aux salaires des maîtresses

Cependant, c’est toujours à ce niveau du recrutement et du salaire des enseignants qu’il y a une difficulté. Cette année, la directrice qui est une sœur de La Providence, souhaite embaucher une maîtresse qualifiée pour aider les enfants et les adolescents en mathématique et en anglais. C’est très important de pouvoir embaucher cette personne car les enfants de la décharge ont particulièrement besoin de soutien dans ces deux matières. En effet, personne dans leur entourage immédiat ne peut les aider. L’aide au coude à coude par une personne à la fois bienveillante et exigeante est donc indispensable. De plus, sans l’embauche de cette personnes, les enfants de 5ème et 6ème, de primaire et secondaire risquent de ne pas être accueillis cette année…

La somme à recueillir pour rendre réalisable ce projet est de 6000 € ! C’est possible !

Merci de nous aider à poursuivre cette belle œuvre. Nous sommes fières car un certain nombre d’enfants accueillis au fil du temps sont bacheliers, universitaires et occupent désormais des postes qui leur permettent de gagner leur vie dans la joie et la sérénité.

Ces fruits récoltés sont le signe que l’école porte bien son nom « Enfant Espérance ».

HONDURAS – Un cabinet de physiothérapie pas comme les autres

HONDURAS – Un cabinet de physiothérapie pas comme les autres

Depuis 5 ans, une sœur développe avec bonheur et compétence son art de physiothérapeute. Elle accueille toute personne qui nécessite ses soins. Son but est de permettre à tous de bénéficier de ce type de prise en charge et d’offrir un espace d’écoute et de dialogue. Que les gens puissent payer ou pas n’est pas son critère de choix des patients.

Chacun donne ce qu’il peut. La qualité des soins est identique pour tous ! Pas de discrimination.

Ce modeste et chaleureux cabinet est ouvert le weekend en dehors des heures de travail à l’hôpital. Les sœurs l’ont ouvert, parce qu’il leur permet de grandir dans leur autonomie financière vis-à-vis de l’Europe, ce qui est très bon ! Mais elles ont encore besoin d’un petit coup de pouce pour l’achat de matériel adapté aux soins prodigués. Par exemple, l’huile essentielle est inabordable là-bas !

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