CÔTE D’IVOIRE – Acheter le mobilier des nouvelles salles de classes du collège de Béoumi

CÔTE D’IVOIRE – Acheter le mobilier des nouvelles salles de classes du collège de Béoumi

Proche de Bouaké, la ville de Béoumi tient à cœur aux sœurs de La Providence ; c’est là qu’elles ont planté leur première tente en terre africaine. Peu de temps après leur arrivée, elles ont vu la nécessité de scolariser les filles vraiment laissées de côté dans le système familial, social et éducatif. Au fil des années, le collège s’est développé. Il est devenu florissant et même un des fleurons de l’éducation en Côte d’Ivoire !

Le collège de Béoumi, situé en milieu rural, accueille des jeunes filles en externat et en internat. Les sœurs de la communauté sont mobilisées pour ce service éducatif, pour permettre la croissance humaine et spirituelle des jeunes filles qui leur sont confiées. Le collège, qui fut détruit lors des événements politiques de 2002, s’agrandit avec l’ouverture du lycée. Actuellement, il a le projet de construire 5 classes cette année et une cantine pour les élèves externes l’année prochaine.

Les jeunes filles externes viennent de loin pour les cours et souvent elles n’ont pas les moyens de se nourrir décemment dans la journée. C’est une situation d’insécurité et certaines n’arrivent pas à terminer leur scolarité. Une association espagnole, Manos Unidas, soutient le collège dans ces projets ; elle va prendre en charge la construction (les 5 classes cette année, la cantine et les toilettes l’année prochaine).

Ensemble, nous pouvons apporter notre pierre à l’édifice !

Nous avons besoin de vos soutiens pour l’achat de 135 tables et chaises, 5 armoires, 5 bureaux pour les professeurs et 1 équipement de bureau au bout du bâtiment. L’équipement des classes coûtera plus de 8 000 000 F CFA, soit plus de 12 000 € (1 € = 656 F CFA).

Concrètement, cela représente quoi ?
1 table + 1 chaise = 50 000 € F CFA, soit 76 € (soit 26 € après déduction fiscale)

Merci de nous aider à équiper les classes pour permettre aux jeunes filles de poursuivre leurs études dans de bonnes conditions. Par l’éducation, nous contribuons à l’avenir du pays en formant des jeunes femmes qui prendront leur place dans la société ivoirienne.

HONDURAS – Réparer la toiture de la maison des étudiantes de Suyapa

HONDURAS – Réparer la toiture de la maison des étudiantes de Suyapa

La maison des étudiantes à Suyapa accueille actuellement 13 jeunes filles, venues de villages éloignés pour poursuivre leurs études à l’Université. Ce foyer offre un cadre sécurisé pour les étudiantes. La présence d’une communauté de 3 sœurs crée une ambiance familiale qui offre de bonnes conditions pour étudier. Les sœurs proposent également une formation humaine et spirituelle pour un développement intégral.

Les abondantes pluies de ces derniers mois ont détérioré une partie du toit, créant des infiltrations d’eau dans des chambres. Un projet de réparation est commencé et a besoin de notre soutien financier pour des travaux indispensables.

Le Honduras fait partie des pays les plus pauvres de notre planète ; il ne peut pas assurer à tous ses citoyens de quoi vivre décemment. Cette situation pousse des milliers d’hommes et de femmes sur les routes de l’exil vers les États-Unis. Favoriser un environnement digne de la personne humaine, simple et pratique, est une manière de soutenir les études de ces jeunes filles qui cherchent à acquérir un métier pour participer au développement de leur pays.

Votre aide nous est précieuse pour prendre en charge le chantier des réparations :

Celui-ci est estimé à 4 800 €.

BURKINA FASO – Ouvrir une cantine et acheter des livres pour l’école de Boussouma

BURKINA FASO – Ouvrir une cantine et acheter des livres pour l’école de Boussouma

Le pays fait face à la montée inexorable du terrorisme. Cette escalade engendre un lot de conséquences difficiles à gérer. La situation empire chaque jour et met toute la population dans un état d’extrême tension. Les gens sont obligés de fuir leurs villages et de laisser derrière eux leurs champs et donc leurs moyens de subsistance. Le nombre de personnes « déplacées » augmente chaque jour. Les personnes contraintes au départ viennent grossir villes et villages qui se trouvent alors en grande peine pour nourrir et loger leurs frères et sœurs en exode tout comme pour scolariser les enfants et les jeunes.

La petite ville de Boussouma fait face avec énergie à cet afflux de population. Les salles de classe des écoles sont pleines à craquer. Beaucoup d’enfants arrivent le matin sans avoir mangé. Aussi nous avons décidé d’aider la paroisse à ouvrir une cantine. Nous le savons tous « ventre vide ne peut avancer ». La malnutrition entraine aussi des problèmes de santé.

Le projet de cantine :

La cantine fonctionnerait du lundi au vendredi pour le repas de midi. Les parents ne parviennent pas à payer les 5000 FCFA (7,62 €) demandés par mois pour réaliser ce projet. Ils auront tout de même à fournir une contribution de 2000 FCFA (3,05 €) pour la rémunération de la cuisinière et pour l’achat des condiments.

La bibliothèque :

Par ailleurs, le manque de livres à la bibliothèque est criant. Les élèves ont juste un cahier pour étudier aussi acquérir des livres pour constituer une bibliothèque est vraiment une nécessité. Il y a sur le marché de très bonnes annales qui sont des résumés de cours et des romans que les élèves doivent lire pour faire des exposés. Mais comment faire un exposé sur un roman que l’on n’a pas ? Le coût est abordable. De plus, ils sont adaptés au niveau de compréhension et aux besoins des élèves. Cette bibliothèque serait ouverte à tous les élèves de la ville. Beaucoup d’enfants ont la volonté de réussir mais il leur manque appui et accompagnement.

D’autres besoins existent. Cependant, nous avons choisi ces deux dimensions : offrir un repas par jour et pouvoir nourrir sa réflexion par la lecture !

Juin 2024 | Le projet avance bien !

Grâce à vos dons collectés depuis le lancement de la campagne, l’école de Boussouma a reçu une première livraison de bois de chauffe et des denrées alimentaires pour la cantine. Du côté de la bibliothèque, on s’active à construire des étagères pour ranger les nouveaux livres qui viennent d’arriver !

Les jeunes filles et la cantinière de Boussouma sont heureuses de partager avec vous ces quelques photos, en attendant d’autres nouvelles qui arriveront avant l’été 🙂

Une belle initiative !

Les jeunes filles se sont lancées dans la fabrication de savon à base d’huile de coco pour leur usage quotidien. Dans cette vidéo, elles nous ouvrent les portes de leur atelier :

Fin 2024 | Nous apportons notre soutien à un second foyer

Le curé de Boussouma a sollicité notre accord afin de partager les dons reçus pour son foyer avec un autre foyer situé dans un village encore plus exposé à la détresse (paroisse de Mané). Cette nouvelle aide permet aux jeunes filles de manger tous les jours et donc d’avoir plus de force pour leurs études. Elles remercient chaleureusement les donateurs !

HONDURAS – Construire un préau au village Madre Maria José

HONDURAS – Construire un préau au village Madre Maria José

Après le cyclone Mitch en 1998, les sœurs de la Providence ont œuvré avec courage et détermination à la construction d’un village pour reloger des familles qui avaient tout perdu suite à des glissements de terrain. Ainsi est né le village Madre Maria José. Parvenir à reloger tout le monde fut un long labeur…

Dans ce village, elles ont aussi construit un jardin d’enfants pour permettre aux tout-petits d’être scolarisés sur place et contribuer ainsi à leur développement moteur, culturel et social.

« Cette colonie », comme on dit là-bas, est éloignée de tout. Aussi, peu à peu une école et un jardin d’enfants « Kinder » ont vu le jour. C’est pour ce dernier que nous avons besoin de votre aide. Les sœurs désirent construire un grand préau qui permettra aux enfants de ne souffrir ni de la pluie violente à certains moments ni du soleil dardant à d’autres moments.

Par diverses activités, les sœurs ont déjà recueilli une grande partie de la somme nécessaire.

Il manque 4000 € pour rendre possible la construction de ce préau.

Fin 2024 | Le projet est achevé !

Grâce à vos soutiens, le préau du Kinder ou jardin d’enfants « Anne Pierre » de la Colonia Maria José est terminé. Les grilles qui entourent le kinder ont été réhaussées pour la sécurité des enfants. Dorénavant, le beau préau protégera les enfants des variations climatiques (trop de pluie ou trop de soleil !). Tout en fournissant une aire de récréation sécurisée, il sera également le lieu des fêtes de l’école et des rencontres des parents d’élèves.

Le kinder « Anne Pierre » a pour objectif de susciter chez les enfants le désir d’aspirer à de meilleures conditions de vie, par l’éducation aux valeurs, le travail bien fait et l’amour de Dieu ; de donner les moyens aux enfants de développer leurs capacités motrices.

GUATEMALA – Une nouvelle maîtresse pour une école construite sur une décharge publique

GUATEMALA – Une nouvelle maîtresse pour une école construite sur une décharge publique

L’école de soutien scolaire « Casa Nino Esperanza » est bien particulière ! Elle a été construite sur la grande décharge de la capitale Guatemala City. Au départ, les enfants se réunissaient sur une bâche, puis dans une cour, et enfin dans un garage.

Tous les jours les camions poubelles déchargent les ordures de la grande ville et tous les jours des centaines de personnes trient et récupèrent ce qui peut se recycler, se vendre. C’est là que vivent avec leurs parents, les enfants de cette petite école que nous chérissons. Depuis de longues années, les sœurs animent et gèrent ce coin de paradis dans un univers boueux et pestilentiel.

Aujourd’hui, l’école est en dur. Elle a été construite par une association de personnes de Guatemala City. Cette association assure l’entretien du bâtiment. Quant aux sœurs, elles doivent gérer le quotidien, payer les enseignants et trouver les ressources pour la mission éducative.

Cette école est ouverte toute la journée même s’il s’agit de soutien scolaire. Pourquoi ? Au Guatemala, comme dans beaucoup de pays, la scolarité est dispensée par demi-journées soit le matin, soit l’après-midi. Les enfants viennent donc à l’école « Nino Esperanza » l’autre demi-journée.

Aujourd’hui, plus de 140 enfants fréquentent quotidiennement l’école.

L’esprit de l’origine s’est maintenu au fil des années. L’école vit grâce à beaucoup de solidarité :

  • Une association du pays a construit l’école et assure l’entretien
  • Diverses associations de France et des États-Unis participent au financement des goûters journaliers et aux salaires des maîtresses

Cependant, c’est toujours à ce niveau du recrutement et du salaire des enseignants qu’il y a une difficulté. Cette année, la directrice qui est une sœur de La Providence, souhaite embaucher une maîtresse qualifiée pour aider les enfants et les adolescents en mathématique et en anglais. C’est très important de pouvoir embaucher cette personne car les enfants de la décharge ont particulièrement besoin de soutien dans ces deux matières. En effet, personne dans leur entourage immédiat ne peut les aider. L’aide au coude à coude par une personne à la fois bienveillante et exigeante est donc indispensable. De plus, sans l’embauche de cette personnes, les enfants de 5ème et 6ème, de primaire et secondaire risquent de ne pas être accueillis cette année…

La somme à recueillir pour rendre réalisable ce projet est de 6000 € ! C’est possible !

Merci de nous aider à poursuivre cette belle œuvre. Nous sommes fières car un certain nombre d’enfants accueillis au fil du temps sont bacheliers, universitaires et occupent désormais des postes qui leur permettent de gagner leur vie dans la joie et la sérénité.

Ces fruits récoltés sont le signe que l’école porte bien son nom « Enfant Espérance ».

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